Ils sont laids, obsédés, boutonneux et pas vraiment très futés : les beaux gosses séduisent les spectateurs de cinéma pour leurs petits défauts et leur humanité.
Le titre ironique et un peu attendri, suivi d’une scène de palots version collège en gros plans (le premier d’une longue série truculente) n’attend pas pour donner la couleur. Au collège, et dans Les Beaux gosses, le sujet principal va être les rapports filles garçons et le dur et plaisant apprentissage de la drague.
Les beaux gosses : Spectateurs qui rient, spectateurs conquis
Chouchouté par Ariane le 18 juillet à 12:57
Vengeance : le film réalisé par Johnnie To
Vengeance est un film improbable, un western moderne façon film de gangster, à la mode de Hong Kong et avec dans le rôle phare Johnny Hallyday !
Le film de Johnnie To concentre plan par plan originalité, excentricité, jeu avec les clichés génériques qu’il mélange, maltraite et assaisonne, le tout agrémenté d’un humour absurdo-corrosif et d’une tristesse vagabonde.
Chouchouté par Ariane le 22 mai à 13:01
La critique de Millenium, un film de Niels Arden Oplev
Label des spectateurs UGC, Millenium a le mérite original d’être un film suédois venu s’asseoir dans les salles de cinéma entre les films français et les films américains.
L’explication est simple : Millenium est un best seller écrit par l’auteur suédois Stieg Larsson.
Chouchouté par Ariane le 18 mai à 16:20
Critique du film Un mariage de rêve, réalisé par Stephan Elliott
Le film Un mariage de rêve commence sur les chapeaux de roue du romantisme : Larita gagnante d’une course automobile (Jessica Biel, magnifique) épouse quelques jours après l’avoir rencontré John un jeune anglais aristocrate.
Le titre, ne pourrait pas être plus explicite et la première scène achève de lever les derniers doutes : en fait, il pourrait s’agir du dénouement d’un conte de fée.
Chouchouté par Ariane le 10 mai à 12:46
La critique de Good Morning England réalisé par Richard Curtis
Good Morning England en met plein la vue et plein les oreilles.
Tout commence avec les fans de la radio pirate Radio Rock, des enfants et des jeunes qui apparaissent à un rythme effréné, et de plus en plus nombreux sur l’écran démultiplié.
Attention, ça va swinguer !
Chouchouté par Ariane le 07 mai à 13:51
Incognito d'Eric Lavaine
Eric Lavaine a été bien inspiré. Refaire jouer Franck Dubosc, aux personnages de beaufs pas même drôles (Camping, Disco), donner à Bénabar son premier rôle au cinéma : le pari était risqué.
Le résultat est savoureux : Incognito gagne à être connu !
Chouchouté par Ariane le 03 mai à 21:22
Romaine par moins trente d'Agnès Obadia
Romaine par moins trente est un film de blonde : Romaine (Sandrine Kiberlain), grande blonde déguingandée part avec son petit ami Justin au Canada. Le voyage est un cadeau-suprise, et pour tout dire un enfer pour Romaine qui n’aime pas le froid et apprend que Justin compte s’installer pour de bon dans un petit village isolé croulant sous la neige pour élever des chiens de traineau avec sa mère !
Chouchouté par Ariane le 02 mai à 20:02
Prédictions d’Alex Proyas
Knowing (Prédictions) reprend pour la énième fois le filon de l’enfant confronté aux extraterrestres (ET), mêlé cette fois-ci à celui de la fin du monde (Phénomènes, I am a legend).
Ce choix scénaristique est à l’image de l’histoire dans son ensemble : trop appuyé et caricatural.
Chouchouté par Ariane le 03 avril à 18:31
Astérix aux Jeux Olympiques…
Il y a des jours où on ne rêve que d’un pâté. Un pâté bien encrouté et indigeste. Bien gras. C’est rare, et généralement on sort de la séance en regrettant quand même d’y être allé. Mais l’on n’est pas déçu, non, parce que généralement, c’était bien un pâté, royal même quelquefois.
Chouchouté par Ariane le 23 février à 18:23
Les promesses de l'ombre de Cronenberg: promesses de l'Est
Les promesses de l’ombre… ou plutôt Eastern Promises. Car c’est de l’Est qu’il s’agit, de la communauté russe et ukrainienne de Londres. Le titre français vit déjà dans la métaphore. Le titre américain souffle à l’oreille que Cronenberg sera direct, encore, et que pour qu’il y ait métaphore, il doit avant y avoir matière. Le film en est la démonstration. Démonstration de force, et de douceur, aussi, rarement mais pleinement, noués dans l’intrigue.
Chouchouté par Ariane le 21 novembre à 17:13
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